« La réunion de nos sociétés est une chose mais nous désirons vraiment développer la partie pédagogique car nos métiers sont inconnus dans la région. De nombreux parents se posent des questions dès que leur enfant reste trop longtemps devant leur ordinateur. Sauf que ce sont peut-être des génies créatifs que l’on a tendance à orienter vers des filières classiques», indique Philippe Chapot, co-fondateur du 400 de Saint-Viance. « Nous nous devons d’expliquer dès le plus jeune âge aux parents et aux enseignants ce que sont nos métiers».
Les enfants ont échangé sur le monde multimédia et découvert les astuces du métier, tel le fond vert cher aux présentateurs météo. Ils sont passé devant et derrière la caméra pour tester la technique et sont repartis plein d’enthousiasme.
«Nous avons été accueillis de manière fantastique. Ce fut l’occasion de montrer aux élèves que le patrimoine évolue dans le temps et qu’il est possible pour une commune rurale de s’ouvrir sur l’extérieur grâce à la technologie. C’est la même approche qui nous a permis de nous équiper en tableau numérique et ordinateurs portables pour l’école, les collectivités étant sensibles à ces démarches. Une initiative à renouveler» confirme Mme MARCHIVE, maîtresse de l’école des CE2 de Saint-Viance qui ont bénéficié de cette initiative exceptionnelle.
Les enfants ont échangé sur le monde multimédia et découvert les astuces du métier, tel le fond vert cher aux présentateurs météo. Ils sont passé devant et derrière la caméra pour tester la technique et sont repartis plein d’enthousiasme.
«Nous avons été accueillis de manière fantastique. Ce fut l’occasion de montrer aux élèves que le patrimoine évolue dans le temps et qu’il est possible pour une commune rurale de s’ouvrir sur l’extérieur grâce à la technologie. C’est la même approche qui nous a permis de nous équiper en tableau numérique et ordinateurs portables pour l’école, les collectivités étant sensibles à ces démarches. Une initiative à renouveler» confirme Mme MARCHIVE, maîtresse de l’école des CE2 de Saint-Viance qui ont bénéficié de cette initiative exceptionnelle.

«Nous avons déposé des demandes de subvention pour pouvoir recevoir régulièrement des classes de collèges et de lycées de la région. Nous sommes certains que les collectivités territoriales font leur maximum pour essayer de nous permettre de continuer dans cette démarche.» conclut Pierre Magnol, co-fondateur du 400.
De quoi susciter des vocations.
De quoi susciter des vocations.